Le « Rapport sur les féminicides 2024 » de France Victimes met en lumière non seulement les difficultés de prévention, mais aussi les traumatismes subis par les enfants exposés à ces violences. Ces jeunes victimes portent des cicatrices durables, et malgré des avancées législatives, le système judiciaire peine à répondre à leurs besoins émotionnels et psychologiques.
La justice restaurative, qui permet aux victimes et aux auteurs d’échanger autour des conséquences d’un délit ou d’un crime, est-elle adaptée dans les cas de féminicides où l’enfant est témoin des violences subies par sa mère ? Est-ce un outil suffisant pour les accompagner dans leur réparation ?
Telle est la question que j’ai posée en Délégation aux Droits des Enfants le 5 novembre 2024, à l’Assemblée Nationale :