Le secteur associatif joue un rôle essentiel en offrant une multitude de services et d’aides à différents publics et en contribuant activement au bien-être et au développement de la société.
Cependant, il est important de souligner que le secteur associatif, tout comme d’autres secteurs, doit faire face à de nombreux défis tels que la baisse des financements, ou le manque de ressources humaines.
Dans ce contexte, la prime Ségur est une mesure qui vise à reconnaître et valoriser l’engagement et le travail des professionnels de la santé et de l’action sociale, y compris ceux travaillant dans les associations.
Pourtant, une injustice subsiste : même si cette prime est attendue, il est difficile, voire impossible aux associations, de la verser à leurs salariés. En effet, les associations ne réalisent pas de profit, elles ne peuvent donc pas rivaliser avec des sociétés privées spécialisées dans ces domaines. Beaucoup rencontrent des difficultés au quotidien pour boucler leurs budgets, recruter et remplacer le personnel parti à cause d’une rémunération insuffisante.
Aussi, j’ai souhaité interroger la Ministre des solidarités et des familles pour connaitre les mesures qu’elle entend prendre pour aider ces associations qui pâtissent de l’attractivité des professions du secteur social, ne pouvant pas s’aligner sur les salaires du privé.
Retrouvez ma question et la réponse de la Ministre en cliquant sur le document ci-dessous :